Le grand paradoxe du leadership féminin
Depuis plus de 20 ans, les femmes trustent les premières places des classements dans les universités et les grandes écoles.
Elles sont la plus grande source de performance inexploitée des entreprises pour développer la compétitivité, la croissance, la création d’emplois, l’amélioration du dialogue social et la qualité de vie au travail (rapport Mc Kinsey).
Leur présence améliorent nettement l’intelligence des groupes dans les prises de décisions (études du MIT).
Et pourtant, les femmes sont les grandes absentes de la majorité des cercles de décision au plus haut niveau.
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Elles sont moins de 8 % des PDG aux USA, 6 % au Royaume-Uni, 2 % en France, 1 % en Allemagne.
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En 2021, en France il y a moins de 17 % de femmes dans les comités exécutifs.
Comment expliquer ce paradoxe ?